La force d'intervention internationale

Nous travaillons pour chaque équipe de projet Implenia qui souhaite que nous les aidions. Nous recevons des demandes de l'ingénierie et des travaux spéciaux de génie civil (ICS) en Allemagne et en Suisse, mais aussi de la construction de tunnels en France, en Suède, en Norvège, en Suisse, en Allemagne ou en Autriche. C'est donc très international et aussi extrêmement varié en ce qui concerne le type de projets : qu'il s'agisse du Förbifart Stockholm Johannelund (Suède), de l'ascenseur à bateaux de Niederfinow, du projet SMS-2a à Moss (Norvège), de la construction de remplacement du viaduc de Rader ou de l'extension de la deuxième ligne principale à Munich: Nos collaborateurs contribuent de manière déterminante à la réussite des projets.

En quoi consiste votre intervention dans un projet concret ?

Sur place, nous soutenons les équipes de projet pour certains projets avec nos coordinateurs et coordinatrices de planification, qui sont détachés sur place pendant la durée du projet et intégrés à l'équipe locale. Pendant la construction, ils sont généralement sur le chantier et y coordonnent les tâches de planification. Si l'activité le permet, ils peuvent également travailler à domicile ou dans un autre bureau. Pour de nombreux projets, nous réalisons la planification de la structure chez nous au Technical Design Office, mais elle est parfois confiée à des planificateurs externes, y compris dans d'autres domaines comme l'électrotechnique, le drainage, la mise à la terre, .... Nos coordinateurs de planification coordonnent les tâches à effectuer et s'assurent que tout s'accorde.

Dans l'idéal, nous recherchons pour des tâches de statique ou de coordination de planification des personnes ayant un diplôme d'ingénieur civil, idéalement dans le domaine de la construction avec un accent sur la statique, la construction massive, la construction métallique ou la géotechnique. Si quelqu'un possède toutes ces qualités, c'est bien sûr excellent, mais au moins un ou deux domaines parmi ceux-ci seraient souhaitables. Parallèlement, pour les tâches de construction, nous recherchons des personnes ayant une formation de dessinateur en bâtiment ou des ingénieurs en bâtiment titulaires d'un bachelor qui souhaitent travailler dans le domaine de la construction.

Quel type d'expérience les jeunes attendent-ils s'ils rejoignent votre entreprise après leurs études ?

Pour les jeunes qui sortent tout juste de l'université, nous proposons une entrée directe en tant qu'ingénieur(e) en structure ou dans le domaine de la construction. Les nouveaux arrivants sont soutenus par nos collègues qui ont une longue expérience professionnelle. Nous avons également mis en place un programme spécial pour les stagiaires: Après l'université, les stagiaires travaillent d'abord six mois chez nous au Technical Design Office, afin d'avoir un aperçu de la planification des structures et de comprendre qui fait quoi et où se situent les défis. Ensuite, ils sont affectés à différents postes, par exemple sur le chantier à la direction des travaux ou à la coordination de la planification, dans le domaine du BIM, dans une équipe d'offre, au calcul des coûts ou à la préparation des travaux. Ainsi, après leur formation théorique, les jeunes gens ont un aperçu approfondi de la pratique. Nous ne fixons volontairement pas tous les postes, mais nous nous mettons toujours d'accord avec les unités opérationnelles pour savoir où elles peuvent employer quelqu'un de manière judicieuse pendant une période de trois mois, et nous décidons ensuite avec les stagiaires où cela convient le mieux.

Où les stagiaires sont-ils affectés ?

En ce moment, nous avons un stagiaire sur le projet de couverture de l'A7 Altona à Hambourg et sur le projet de réfection totale du pont de Mülheim à Cologne. Une fois le programme de formation terminé, les stagiaires décident s'ils veulent continuer à travailler au TDO dans le domaine de la conception des structures ou dans d'autres domaines. C'est le cas par exemple de Nadine Bendt qui, après avoir terminé son programme de formation, travaille maintenant comme chef de chantier sur le projet du pont surélevé de Rader, ou de Peter Allgeier, qui travaille comme coordinateur de planification sur le projet Marienhof à Munich.

Ce que font les anciens stagiaires aujourd'hui

Nous sommes une bonne équipe, nous pouvons proposer des projets vraiment passionnants en Allemagne et à l'étranger et nous avons un programme de stage très attractif : lorsque nous publions un poste pour les débutants, nous recevons toujours de très bonnes candidatures de jeunes ingénieurs qui veulent commencer directement chez nous dans le domaine de la statique ou de la conception de structures.

Vous n'avez donc pas de soucis de relève ?

Si : nous recherchons aussi et surtout des collègues expérimentés ! Mon idéal serait que tous les jeunes collègues soient accompagnés d'ingénieurs expérimentés, en tant que mentors, qui encadreraient et formeraient ensuite les jeunes. Il n'est pas facile de trouver ces personnes expérimentées.

Que peuvent attendre les personnes intéressées chez vous ? Pourquoi est-ce que ce sont des emplois formidables ?

Nous avons une très bonne ambiance de travail et une équipe formidable. Nous sommes en bonne harmonie les uns avec les autres. Nous avons des projets formidables et complexes qui sont amusants. Et même si certains projets nous causent des soucis et du stress, nous apprécions toutes ces tâches passionnantes. On ne s'ennuie jamais, car chaque projet est différent. C'est sans doute la raison pour laquelle beaucoup d'entre nous sont là depuis si longtemps. Le collaborateur de notre équipe qui a le plus d'ancienneté est dans l'entreprise depuis bientôt 50 ans – il est à la retraite depuis presque un an et travaille encore pour nous en tant qu'intérimaire.

Tu fais ton travail depuis un certain temps déjà et tu es toujours aussi enthousiaste à l'idée de le faire. Qu'est-ce qui est si génial dans ton travail ?

L'identification avec les constructions auxquelles on participe ! J'ai été coordinateur de la planification pendant près de quatre ans à Stockholm pour le projet Norra Länken - l'ouvrage devient alors quelque chose de propre, on s'y identifie et on en est très fier. Il en va de même pour le tunnel routier Skansenløpettunnel à Trondheim, Förbifart Johannelund à Stockholm ou le 4e tube du tunnel de l'Elbe à Hambourg, auquel j'ai pu participer en tant que staticien à mes débuts... C'était à l'époque le plus grand tunnel creusé à la machine. Aujourd'hui encore, lorsque je me dirige vers le sud depuis le Schleswig-Holstein, je roule tout à droite dans le quatrième tube du tunnel de l'Elbe. Après tout, c'est « mon » tunnel.